14
Jan

Chic planète

Indiana JonesL’aventure est au coin de la rue et plus précisément l’angle du boulevard Sébastopol et de la rue Papin a Paris.
Les explorateurs en herbe ont en effet, aujourd’hui, à leur disposition un champ d’investigation, «Planète magique», pleine de défis et de surprises. Par l’intermédiaire de jeux interactifs très imaginatifs, ils vont vivre les exploits d’Indiana Jones, évoluer dans un château mystérieux ou, en utilisant une machine à remonter le temps, traverser différentes époques pour retrouver un trésor. La conquête spatiale est également au programme et les apprentis cosmonautes ne manqueront pas de prendre place dans une navette avant de découvrir les joies de l’état d’apesanteur. Enfin, «Planète magique» fait également la part belle a l’image avec la projection de films en 3D et d’innombrables jeux vidéo. Petits et grands connaîtront ici des sensations grisantes et étonnantes. Souhaitons qu’après un faux départ malheureux, «Planète magique » réussisse cette fois sa mise en orbite.

Carnet rose

Nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance d’un nouvel éditeur, IBF (International bank films), qui présente, ce mois-ci, ses trois premières cassettes : « Penombra », un érotique italien costumes (prix indicatif : 99 francs), le premier volume de la série «Ninja boy», qui en comportera douze (prix unitaire : 99 francs), et un très beau film japonais, «La vengeance du samouraï», disponible à la location. Longue vie à IBF, qui compte sortir deux titres par mois.

Vidéo boom

L’année 1990 est à marquer d’une pierre blanche pour l’industrie de la vidéo. Quelques chiffres ô combien édifiants, sinon révélateurs vont certainement vous en convaincre. En quatre mois d’exploitation, «La Belle et le Clochard» (Film Office) a dépassé la barre des 600 000 cassettes vendues, «E.T.» (CIC Vidéo) s’est vendu à plus de 300 000 exemplaires, et «Rain mans » (Warner) 200000. Et 1991 s’annonce tout aussi fructueux…