14
Avr

Check list pour organiser un évènement professionnel

Vous envisagez d’organiser un évènement professionnel mais vous ne savez pas par quoi commencer ? Découvrez notre check liste pour un évènement réussi.

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27
Mar

Pourquoi choisir le meilleur vélo d’appartement ?

Prendre soin de sa forme physique est devenu un sujet d’actualité dans plusieurs pays du monde. En effet, cela permet de lutter contre le surpoids et les conséquences parfois dramatiques qui en découlent au fil des années. C’est ainsi que le vélo d’appartement a pris un regain important de notoriété en raison de son côté pratique et de ses avantages. Seulement, voilà, il existe différents modèles de vélo d’appartement. Il va alors de soi que dans le processus de choix, tout le monde désire s’approprier le meilleur modèle. Quel est ce modèle ? Et en quoi est-il important d’opter pour ce modèle ?

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8
Jan

J’ai acheté un épilateur électrique, je suis un homme et alors !

Aujourd’hui, l’utilisation des rasoirs n’est plus chose courante. On remarque plutôt que beaucoup préfèrent se fier à l’efficacité des épilateurs électriques. Mais qu’est-ce qu’un épilateur électrique ?

C’est quoi un bon épilateur ?

Un épilateur est un petit appareil électrique qui enlève les poils par les racines. C’est essentiellement une machine à épiler les cheveux qui utilise des spires, des disques ou des plaques à ressort pour épiler plusieurs poils à la fois. L’épilation est réalisée assez rapidement, comme avec l’épilation à la cire. Les femmes et les hommes s’en servent pour épiler les jambes, les bras, le visage, le pubis, le dos et d’autres zones du corps. Contrairement à l’épilation à la cire, celui-ci n’affecte pas beaucoup la peau, il provoque donc généralement moins d’irritation c’est pour que j’en ai acheté un sur ce site https://epilateur.ovh/.

A quoi sert un épilateur électrique?

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31
Déc

Je sais pourquoi que j’ai acheté une échelle télescopique en alu

Parmi l’ensemble des outils et équipements qui sont nécessaires au sein d’une habitation pour rénover, construire, bâtir ou tout simplement entretenir, il en est un incontournable : l’échelle télescopique alu. Décrire ses multiples fonctions relève de la gageure, elle est tout bonnement indispensable au sein d’un logement, et au jardin aussi. L’ échelle alu, maniable et légère, voilà la meilleure amie de tous futurs travaux. Cette échelle est également baptisée échelle télescopique voir tous nos modèles https://testeur-du-dimanche.fr/echelle-telescopique/.

L’échelle alu, partenaire de tous vos travaux

L’ échelle télescopique est l’assurance de réaliser tous ses travaux en toute sécurité. Les patins de stabilité garantissent une assise sans reproche. L’aluminium allège la portée et l’encombrement de l’échelle. Différents modèles d’ échelle alu sont disponibles sur le marché, pour s’adapter à toutes les tâches futures. Un modèle simple permettra de réaliser les basiques travaux d’entretien et de rénovation. En la choisissant double, on opte ainsi pour une capacité de dédoublement pour accéder aux endroits plus difficiles. Certaines des échelles alu peuvent également être modulables, notamment pour se transformer en échafaudage, un plateau étant à ce moment-là posé sur la partie centrale ; ainsi les travaux les plus ardus deviennent un jeu d’enfant. Le plateau supérieur de l’échelle télescopique permet toujours de poser les outils indispensables, comme les pinceaux dans le cas de travaux de peinture ou les fils électriques pour la pose d’un éclairage. Continue reading

21
Déc

Nice àla mode spaghetti

Le 7e. Festival du cinéma italien aura lieu du 9 au 15 décembre à Acropolis, le Palais des Congrès de la ville de Nice. Au programme : une compétition entre une dizaine de films (Angela Molina, Robin Renucci, Robert Chazal et Pierre Rival font partie du jury), des films hors-compétition, un hommage à Sergio Leone, une carte blanche à Simon Mizrahi, pour présenter une vingtaine de films inconnus ou rares, et enfin une mini-manifestation (projections, expositions, colloques) pour fêter les quarante ans du néo-réalisme. Pour la clôture, Ennio Moricone dirigera l’orchestre philharmonique de Nice pour interpréter quelques-unes de ses plus célèbres musiques de films. Pour tous renseignements, Acropolis, 3, esplanade Kennedy, 06300 Nice. Tél. : 93.92.81.81

Tripacks Kodak

Après le succès du tripack «Les dieux sont tombés sur la tête» (deux cassettes vierges E 180 plus un film effaçable pour 295 francs), Kodak lance cinq nouveaux tripacks avec cinq grands films, «Le ruffian», «Blow out», «L’horloger de Saint-Paul», «Le trio infernal» et «La guerre du feu». Ils sont disponibles dans les hyper-marchés, les magasins spécialisés et les vidéoclubs.

Labo JVC à votre service

La société Audio Vidéo Laboratoire, créée en 1978, spécialisée en service après vente, a amélioré l’ensemble de ses services en ouvrant un nouveau centre technique d’avant-garde. En effet, ses locaux du 54, rue d’Hautpoul à Paris 19, ont été transférés dans le même arrondissement au 107, avenue Jean-Jaurès, dans un espace ultramoderne dont la capacité d’accueil est doublée. Agréée depuis plus de trois ans par JVC, AVL assure la maintenance de l’ensemble des produits de la gamme JVC : hifi, TV, caméras vidéo et magnétoscopes, aussi bien grand public qu’institutionnel et ce, sous garantie et hors garantie. Ses techniciens suivent régulièrement les stages de formation des nouvelles générations de produits et, grâce à l’utilisation d’équipements toujours plus perfectionnés, ils font bénéficier leurs clients d’interventions rapides et efficaces. L’accueil a, lui aussi, été privilégié : un immense comptoir de réception avec coin détente vous réserve un accueil personnalisé et particulièrement chaleureux. Tout a été pensé pour vous dans le moindre détail : Le contrôle systématique de l’intervention est rendu possible par la mise à disposition d’un banc de contrôle où l’utilisateur peut vérifier lui-même la qualité de l’intervention.Des chariots sont même mis à votre disposition pour le transport du matériel jusqu’à votre véhicule. Également à votre service, un département regroupant les accessoires et les pièces détachées que vous pourrez retirer directement au comptoir ou vous faire expédier très rapidement. L’équipe AVL est à la disposition des professionnels et des particuliers du lundi au vendredi de 9 h 30 à 18h 30 sans interruption, ainsi que le samedi de 9 h 30 à 12h. AVL, 107, avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris. Tél. : 42.05. 29.61.

8
Déc

Sur les traces deMad Max

Mad MaxVous voulez passer le jour de l’an sur la grande barrière de Corail, faire fortune dans les mines d’Opal, jouer les cow-boys dans un ranch et rencontrer des aborigènes. Vous rêvez encore de partir caméra au poing, tel un grand reporter, à l’autre bout du monde, en Australie. C’est ce que vous pourriez faire du 25 décembre au 20 janvier en vous inscrivant au voyage organisé par l’agence Usit. Vous vivrez à l’heure de l’été australien avec un de nos journalistes, invité à rapporter de cette aventure, un reportage et des photos. Gérard Méloni, photographe, cinéaste et concepteur du voyage, accueillera les participants le 25 décembre à l’aéroport, avant de s’envoler avec eux par le premier vol Qantas, une des compagnies les plus sûres du monde. Pour vous donner l’eau à la bouche, vous pouvez, en attendant, vous procurer la vidéocassette du voyage (disponible chez PSV, 5, rue Miollis, 06000 Nice. Tél. : 93.87.74.14). Si l’Australie vous attire, n’hésitez pas à contacter Usit Voyages, 6, rue de Vaugirard, 75006 Paris. Tél. : 43.29.85.00.

Proserpine,vive la vente

Depuis quelques mois, la société Proserpine réalise une excellente opération avec une vingtaine de films mis à la vente dans les grandes surfaces au prix de 199 francs. «Le vieux fusil», «Le ruffian», «Josépha», «La passante du Sans-souci» sont quelques-uns des programmes proposés. En décembre est prévue la vente de «Ben», «La revanche des humanoïdes», «Mickaël», «L’incorrigible», «Le magnifique», «Happy hooker», «Le massacre des morts vivants» et «Il voulut être une femme». «Les ripoux» et «Marche à l’ombre» sont proposés à 400 francs. Des sets de table Proserpine sont donnés en cadeau dans certaines grandes surfaces.

27
Nov

Edito

Le chat aime la vidéo. Il arrive même que, de plaisir, il ronronne plus fort que le magnétoscope (quoique, avec certains modèles un peu anciens – des modèles de magnétoscopes, pas de chats – ce soit difficile). Le problème est, lorsqu’on a plusieurs chats, que le son du film est parfois couvert par les paisibles bestioles. C’est pourquoi les constructeurs ont inventé la hifi stéréo. Ainsi le bruit de la vidéocassette couvre largement celui de mistigri ainsi que le son du bois qui crépite dans la cheminée. Prions donc, non pas le roi des chats, mais le roi des renards (qui s’appelle CBS-Fox) pour que la cassette «Phantom of the paradise» sorte en hifi-stéréo et non pas en mono, ce qui serait dommage. A notre connaissance, et sauf contrariété inexplicable, l’ensemble de la gente féline appréciera dans ce numéro notre article sur Nathalie Baye dont la douceur et le magnétisme conjugués sont à peu près irrésistibles. Autre sujet de satisfaction pour nos amis félidés : le calendrier GHm/JVC. Les chats adorent les calendriers, qui le leur rendent bien puisqu’ils sont à peu près toujours fidèles aux postes (qu’on appelle aussi PTT). En revanche, il est certain que la cohabitation entre Gros minet et SOS fantômes pourra poser des problèmes, même (et surtout) si lesdits ectoplasmes se sont infiltrés dans le journal à pas de loups. Quant aux étranges Gremlins, nous n’osons même pas y penser… Bah, Raminagrobis se fera une raison. Depuis que Dario Argento a inventé le chat à neuf queues, même John Holmes ne peut plus prétendre régner sur le cahier X. Désormais, le chat s’identifie à la vidéo tout comme Fabius à certaine race canine, et même si le consommateur aboie, la taxe passe. Faites donc comme moi : une provision de Whiskas d’un côté, une provision de cassettes de l’autre et attendez le mois de mars. De toute façon, comme aurait dit Alexandre Vialatte, c’est ainsi qu’Allah est grand…

5
Nov

David Bowie et la blanquette de veau

David BowieSi on sortait à la maison ? Bonne idée ! Vous le savez tous, il y a des jours où, faire la queue pour aller voir unfilm, puis refaire la queue pour aller dîner dans un restaurant (où vous n’avez pas réservé) ; et encore refaire la queue pour trouver un taxi, relève plus du courage que du plaisir. Alors on consulte, son agenda et on découvre qu’il y a plus de trois mois qu’on n’a pas rendue une invitation à dîner à un couple d’amis. Un coup de fil et le rendez-vous est pris. Germaine ma douce et chère compagne qui aime prévoir à l’avance jette son dévolu sur un gigot. Elle prétend devant une de mes rares suggestions en la circonstance que «la blanquette, ça fait fin de mois». Il est vrai qu’on n’est que le 8 du mois. Je lui accorde ce point, mais reste intraitable sur l’autre : pas question de se faire un Monopoly après le dîner. Ce sera soit une des trois cassettes que je viens de louer : The wall (Thorn Emi), un véritable délire m’a-t-on dit, Piaf (Cinéthèque) dont il paraît que c’est à rester le cul par terre tellement c’est beau et émouvant, ou encore Annie Hall (Warner/UA) que nous avons déjà vu trois fois sans en être véritablement rassasiés. Sans compter qu’il nous reste encore quelques disques à écouter. Des tous beaux et des tout neufs. Entre Germaine et moi, le match est nul. Je renonce à la blanquette de veau et elle au boulevard des Capucines, avenue des Champs-Élysées, bref toutes ces propriétés vertes et bleues qu’elle affectionne à chaque partie de Monopoly. La veille de notre dîner, je fais une répétition générale. Je commence par écouter tous les disques, histoire de repérer à la fois les plus intéressants et les meilleures chansons. Pour David Bowie (Let’s dance. Pathé Marconi) pas de problème. Il s’impose de lui-même. Inspiration, bonheur, rythmes, chaque composition, petit joyau, s’attache dans nos têtes et nos cœurs. Et d’un, j’enchaîne illico-presto avec un des rares artistes dont mon affection à l’égard de ses œuvres n’a jamais failli : Jim Capaldi, ex-batteur du groupe Traffic. Il reste égal à lui-même avec son dernier album Fierceheart (Wea). Ses compositions sont fraîches et légèrement musclées. Puis la voix de Jim Capaldi reste comme toujours terriblement prenante. Voilà encore un disque qu’on peut passer et repasser dans son intégralité sans jamais ressentir le moindre ennui. Je suis même prêt à parier que cette œuvre simple et forte sera aussi bonne à écouter dans deux ou trois ans, qu’aujourd’hui. Après ces deux délicieuses sucreries, il me vient comme une envie de goûter à autre chose. Je m’arrache de Jim Capaldipour mettre sur la platine la galette de ZZ Top. De la cuisine me parvient un «Oh » de désapprobation. C’est Germaine qui se laissait aller aurythme de ce bon vieux Jim. Pour le trio texan, faut pas chercher midi à quatorze heures. La dentelle, il la laisse aux autres. Son rock fleure bon la poussière. Eliminator (Warner Bros) c’est onze chansons comme une série d’uppercuts. C’est du «cash and carry». Et on en a pour ses sous. Après ces exercices purement yankees, il n’y a rien de mieux pour se rafraîchir les papilles et le reste, que d’aller faire un tour du côté de la Jamaïque. J’ai entendu dire je ne sais plus où que tout compte fait, la mort de Bob Marley avait en somme du bon. A, savoir qu’elle avait permis la résurgence de talents nouveaux, naguère complètement éclipsés par le génie du prince des Rastas. On ne me fera jamais croire ça pour Peler Tosh, en tous les cas. Je ne l’ai jamais personnellement préféré à Bob. Que ce dernier fut vif où mort. Cela ne veut pas dire que le sieur Pater Tosh soit un gringalet en la matière. Que non. Son Marna Africa (Pathé Marconi) a tous les accents qu’il faut pour faire monter la fièvre. Déhanchements assurés. Groove garanti.

19
Oct

Pour faire monter la fièvre

Et voilà. Côté musique, je crois être suffisamment servi pour épater mes hôtes. Germaine à son habitude hésite toujours quant à l’entrée de son dîner, entre un soufflet au fromage et une salade folle (un de ses spécialités). Moi, je farfouille dans ma bibliothèque à la recherche d’une bande dessinée, quand je tombe sur Naître gagnant de James et Jongeward, un livre que j’ai acheté il y a quelques années, attiré sans doute par le titre. Après une heure de lecture, j’ai le moral à zéro. J’aurais dû commencer à lire ce livre plus tôt… vers l’âge de trois mois. Désabusé, mais non déprimé, je remets cette intéressante œuvre à la place qu’elle n’aurait jamais du quitter. Et je plonge sur le livre de photos : Femmes à géométrie variable de Frank Rheinboldt (Editions Filipacchi).thermometre D’accord. Pas très féministe le titre. Ni même la profession de foi de l’auteur qui avoue : «Je suis un fétichiste, c’est vrai, mais qui ne l’est pas ? J’aime les fesses d’une femme. Pour moi, c’est la partie du corps la plus jolie. Esthétiquement, charnellement, c’est ce que je préfère». Avouerais-je que moi aussi, mais sans exclusive. J’aime autant les contours que les douces vallées. Le livre de Frank Rheinboldt les exploite assez bien qui nous laisse à chaque page complètement rêveurs. Voilà pour les esthètes. Les autres qui ne le sont pas moins, peuvent toujours s’extasier devant la qualité de la gravure, la technique du photographe, son choix judicieux des filtres et des éclairages. Ou plus prosaïquement la splendeur de ses modèles. J’en suis là, pour ma part quand la sonnerie du téléphone me fait revenir dans la dureté des réalités. Ce sont nos amis, ceux qui devaient venir dîner, et qui décommandent pour remettre cela à un autre jour. Fallait s’y attendre, bien qu’on ne s’y attende pas du tout. Et puis de toute manière ils n’ont jamais prêté une réelle attention aux disques que je leur faisais écouter. Et basta.

PS : J’oubliais de préciser que le lendemain, Germaine a changé le menu dans l’après-midi. C’est ber et bien une blanquette de veau qu’on a mangé. David Bowie n’était pas à table avec nous, mais ce fut tout comme.

10
Oct

Le cercle du pouvoir

Le cercle du pouvoirQue faire lorsqu’on est un jeune cadre soucieux de son avancement et que l’on travaille dans une société qui vous offre, après que vous ayez payé trois malheureux milliers de dollars, de faire de vous un chef ? On accepte. Puis on signe une sorte de contrat, qui vous lie corps et âme pendant la durée du stage, dans lequel il est stipulé que les gentils organisateurs peuvent agir à votre endroit comme bon leur semble. Et là, c’est déjà un pied dans le purgatoire. Inspiré, semble-t-il, d’un fait réel qui a eu lieu aux États-Unis, «Le cercle du pouvoir» montre bien à quel point l’homme peut se dégrader pour franchir les soi-disant degrés de la réussite. Fessées, coups, humiliations, brimades, annihilation de toute volonté, aveu de ses vices pour, selon la théorie en question, renaître véritablement. S’affirmer comme un leader. Et tous les participants du stage, les uns après les autres se laissent entraîner dans ce cercle infernal avant de dire leur illumination, sauf un. Comme pour bien, finalement, prêcher le triomphe de l’individu. Il faut avouer que l’on suit ce film avec une attention qui va crescendo avec l’oppression des participants. A la fois révolté et impuissant, et finalement heureux que tout cela ait pu se passer ailleurs. A moins que…

Piège mortel

C’est un film à prendre par son début. Ne ratez ni les cinq premières minutes, ni les cinq dernières. C’est un film par conséquent à ne pas raconter. Et quand bien même faudrait-il le faire, par quel bout le prendre tant il y a de rebondissements, de fausses pistes qui se révèlent vraies, et des vraies qui vous mènent dans des labyrinthes.Piège mortel Bref, cela commence, quand même, par la représentation d’une pièce policière qu’on devine tout de suite être un bide. L’auteur, qui jadis connut un certain succès, semble complètement fichu, jusqu’au jour où il reçoit la pièce écrite par un de ses anciens étudiants. Dès lors, il n’a qu’un seul souci, inviter le jeune et talentueux auteur, se débarrasser de lui et endosser la paternité de cette œuvre. Personne ne manquera de faire un rapprochement entre le film de Lumet et celui de Mankiewicz « Le limier ». Il est vrai que beaucoup de choses les rapprochent, le huis-clos du drame, les incessants changements de situations, voire la démarche même de l’intrigue. Mais la comparaison s’arrête là. «Le limier», superbe et inoubliable, ne souffrait pas d’une mise en scène par trop «théâtralisée». De plus, la force des compositions de Sir Laurence Olivier comme de Michael Caine, que l’on retrouve également ici, était sans précédent et reste inégalée. Celle des principaux acteurs de «Piège mortel» est tout à fait honorable. Elle est, c’est sûr, convaincante au point de nous faire marcher deux heures durant sans le moindre ennui.